jeudi 31 janvier 2013

[Jeu] Le Ciné-rébus # 26


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(attention, la mise en forme de votre réponse a son importance !)



Réponse : RRRrrrr !!!



Trouvé par RRRrrrromainst !!!



Jouez et gagnez plein de cadeaux avec Phil Siné : guettez la publication des jeux sur le blog, soyez le premier à donner la bonne réponse en commentaire et accumulez un maximum
de points afin de choisir le lot que vous convoitez parmi la liste mentionnée un peu plus bas…



Règle du « Ciné-Rébus » : Déchiffrez le titre d’un film dans le rébus ci-dessus et gagnez un point si vous parvenez à être le premier à donner la bonne réponse en commentaire !



A partir de 3 points cumulés, vous pourrez choisir un cadeau parmi les suivants :
- 1 badge collector « I [love] Phil Siné » (3 points)
- 1 badge collector « I [star] Phil Siné » (3 points)
- 1 lot des 2 badges collector (4 points)
- DVD « The calling » de Richard Caesar (4 points)
- DVD « L’étrange créature du lac noir » de Jack Arnold
(accompagné du documentaire "Retour sur le lac noir") (5 points)
- DVD « Flandres » de Bruno Dumont (dans une superbe édition collector digipack
double-DVD, débordante de bonus passionnants !) (5 points)
- DVD  "Karaté Dog", de Bob Clark (5 points)
- DVD « Tropical Malady », d’Apichatpong Weerasethakul (5
points)
- 1 TV écran plasma 100 cm (1000 points)
- 1 voyage pour 2 personnes à Hollywood (1300 points)
- DVD « Sugarland Express » de Steven Spielberg (6 points)
- DVD « Le candidat » de Niels Arestrup (5 points)
- DVD "Killing Sharks" de Pat Corbitt et Gary J.
Tunnicliffe
(5 points)
- DVD "Jack Frost" de Michael Cooney (5 points)



Scores actuels :
Romainst : 14 points



MaxLaMenace_89 : 7 points
Titoune : 4 points
Foxart : 4 points
Cachou : 4 points



π : 4 points



Docratix : 2 points
Papa Tango Charlie : 2 points
Bruce Kraft : 1 point
Niko (de CinéManga) : 1 point
Squizzz : 1 point
FredMJG : 1 point
Marc Shift : 1 point
Cinédingue : 1 point



Maitre Savalle : 1 point



Dom : 1 point



Mister Loup : 1 point



 



Bonne chance à toutes et à tous !































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[Fil ciné] Les films de décembre 2013


Index des sorties ciné



Semaine après semaine, suivez le fil des sorties ciné et des films vus par Phil Siné. Les liens renvoient aux critiques des films présentes sur le blog...



 



Semaine du 4 décembre 2013



- Henri, de Yolande Moreau (France, 2012)
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- Elephant, de Gus Van Sant (Etats-Unis, 2003)
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- Casse-tête chinois, de Cédric Klapisch (France, 2013)
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- La Jalousie, de Philippe Garrel (France, 2013)
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- Carrie, la vengeance, de Kimberly Peirce (Etats-Unis, 2013)
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Semaine du 11 décembre 2013



- Nosferatu le vampire, de Friedrich Wilhelm Murnau (Allemagne, 1922)

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- The Lunchbox, de Ritesh Batra (Inde, France, Allemagne, 2013)
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- Je fais le mort, de Jean-Paul Salomé (France, 2013)
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- All is lost, de J. C. Chandor (Etats-Unis, 2013)
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- A Touch of Sin, de Jia Zhang Ke (Chine, Japon, 2013)
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Semaine du 18 décembre 2013



- Suzanne, de Katell Quillévéré (France,
2012)
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- Belle et Sébastien, de Nicolas Vanier (France, 2013)
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- Le géant égoïste, de Clio Barnard (Grande-Bretagne, 2013)
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- Nos plus belles années, de Sydney Pollack (Etats-Unis, 1973)
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- Bertha Boxcar, de Martin Scorsese (Etats-Unis, 1972)
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Semaine du 25 décembre 2013



- Le loup de Wall Street, de Martin Scorsese (Etats-Unis, 2013)
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- Tel père, tel fils, de Hirokazu Kore-eda (Japon, 2013)
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- 2 automnes, 3 hivers, de Sébastien Betbeder (France, 2013)
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- Don Jon, de Joseph Gordon-Levitt (Etats-Unis, 2013)
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- Fanny et Alexandre, d'Ingmar Bergman (Suède, France, Allemagne de l'Ouest, 1982)
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mercredi 30 janvier 2013

[Sortie] Lincoln, de Steven Spielberg



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(Etats-Unis, 2012)



Sortie le 30 janvier 2013




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Fasciné depuis toujours par le président Lincoln, Steven Spielberg met en image la fin de son mandat, recouvant la fin de la guerre de Secession et l'amendement sur l'abolition de l'esclavage aux
Etats-Unis. Film anti-sensationnel par excellence, cette leçon d'histoire se perd d'ailleurs sous le verbiage politique et une mise en scène qui semble bridée... Phil Siné vous en parle plus précisément à l'autre bout de ce lien !































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mardi 29 janvier 2013

[Critique] Prehistoric, de Griff Furst


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de Griff Furst



(Etats-Unis, 2008)



Le Jour du Saigneur # 135




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Si son titre original (« 100 Millions B.C. ») reprend celui d’un film de Roland Emmerich (« 10 000 B.C. »), le scénario de « Prehistoric » s’inspire bien plus sûrement des « Jurassic Park » de Steven Spielberg. En réalité, cette production improbable est ce
que l’on appelle un « mockbuster », une version pourrie et fauchée d’un blockbuster, que les productions « The Asylum » se font généralement une spécialité de sortir en DVD dans la foulée de la
sortie salle du film ainsi « moqué », des fois que le public achète ça par erreur, le titre ou la jaquette du film maintenant la plupart du temps une confusion quasiment revendiquée !

Dans « Prehistoric », réalisé par un tâcheron au nom fluctuant (Griff Furst… ou Louie Myman ?), on retrouve donc sans la moindre gêne les dinosaures jour_du_saigneur_bis.jpgstars des « Jurassic Park », des vélociraptors au T-Rex, et ce dernier s’offre même une balade en ville, comme à la fin du « Monde perdu »… tiens, tiens ! Bien sûr, il y a de menues variantes, faut
pas déconner avec le plagiat (le tyrannosaure ne ressemble pas vraiment à un tyrannosaure et revêt une couleur rouge… waouh !), et l’histoire abandonne ici l’explication génétique du retour des
dinosaures au profit… de voyages temporels à l’ère mésozoïque ! Un scientifique (inventeur du voyage dans le temps par le biais d’une porte ouvrant un vortex) et des soldats partent ainsi en
mission de sauvetage d’une autre équipe envoyée au temps des dinosaures cinquante ans auparavant (et supposée en vie suite à la découverte de dessins rupestres qu’ils ont fait… vous voyez, c’est
un peu recherché tout de même !), mais ils ne reviennent pas seuls dans les temps présents ensuite, puisqu’ils laissent malencontreusement (c’est ballot !) un bon gros dino franchir le tout petit
vortex… Bon, ça c’est en gros, hein ! Je vous laisse la surprise des subtilités scénaristiques lorsque vous découvrirez le film… ou pas !

Bon, comme souvent avec les films « The Asylum », on se dit qu’à la vue du synopsis, ça va être bien fun et on va pouvoir se moquer avec plaisir de cette sous-production « volontairement ratée »,
pourrait-on dire… et c’est un peu le cas avec « Prehistoric », d’autant que le DVD impose la seule version française, ce qui ajoute certainement à la médiocrité d’ensemble ! Mais on se dit que ce
genre de films pourrait tout de même être plus fou et s’engouffrer plus avant dans la série B ! En fait, tout se révèle par exemple si linéaire et sérieux que l’on s’ennuie souvent ferme,
notamment lors des longues scènes explicatives des théories scientifiques sans queue ni tête… si au moins, on nous racontait des choses intéressantes et un peu crédibles scientifiquement, mais
non ! Bien sûr, les effets spéciaux sont pourris comme il se doit, mais il n’y a pas vraiment de séquences suffisamment « ambitieuses » et « over the top » pour générer de francs éclats de rire :
des raptors si rapides qu’on ne les voit presque pas, une sorte de crocodile épileptique (à moins que ce ne soit le cameraman ?), le vol d’un personnage capturé par un ptérodactyle… guère plus !
La médiocrité des incrustations des CGI dans les plans fait un peu sourire, mais c’est à peu près tout. Même chose au fond côté casting : les acteurs sont mauvais et leurs répliques tout autant,
mais rien de bien exceptionnel ou notable cependant… le film manque de ces comportements ou de ces phrases cultes si énormissimes et absurdes qu’elles amusent… Avec « Prehistoric », c’est juste
navrant, sans plus ! et c’est bien dommage…



Joyeuses fêtes !































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[Sortie DVD] Bovines ou la vraie vie des vaches, d’Emmanuel Gras



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(France, 2011)



Disponible en DVD le 5 février 2013 chez BlaqOut




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Cliquez ici pour accéder à la critique du film par Phil Siné

Qui n’a jamais marché au milieu des champs de vaches de la France verte et profonde ne pourra peut-être pas saisir toute la grandeur et la beauté de cet animal merveilleux… Comment ne pas être
impressionné par exemple, par l’alignement de ces êtres imposants nous regardant avec curiosité le long d’une clôture, attirés par notre passage impromptu, peut-être l’unique occasion de la
journée, pour elles, de voir un être humain ! Emmanuel Gras a bien compris la fascination que peut exercer sur ceux qui les regardent ces « Bovines », comme il les appelle, et il a su les saisir avec passion et intelligence dans son
formidable documentaire, dont je vous avais d’ailleurs déjà parlé en ces pages lors de sa
sortie en salles


La sortie du film en DVD est l’occasion de découvrir cette merveille pour ceux qui l’auraient ratée au cinéma, mais aussi une jolie façon d’en approfondir la lecture, tant l’abondance de bonus de
la galette se révèle passionnante ! Un entretien avec le réalisateur et un commentaire audio du film par celui-ci permettent par exemple d’expliciter bien des aspects concernant la mise en scène
et les images, montrant avec conviction toute la réflexion qu’il y a autour de la réalisation d’un tel documentaire et toute l’intelligence qu’il y a derrière sa construction élaborée et
réfléchie, en dépit de la simplicité apparente du dispositif… Des séquences de « repérages » et de nombreuses « scènes coupées » ne m’auront en outre jamais paru aussi pertinentes dans la partie
« bonus » d’un DVD ! On reste émerveillé devant certaines scènes, dont on se demande parfois pourquoi le cinéaste n’a pas voulu les intégrer à son film : « Lèche-moi » lui aurait-elle paru trop
sensuelle et lui aurait-elle fait craindre une censure de son film pour pornographie zoophile ? « La bagarre » lui aurait-elle paru trop violente pour un documentaire pour toute la famille ? Il
reste plus sérieusement probable que cette mise de côté de ces scènes ait été effectuée pour éviter le piège de l’anthropomorphisme, que redoutait Emmanuel Gras… De beaux suppléments en tout cas,
pour accompagner un film contemplatif et poétique à la gloire d’un animal familier et pourtant méconnu, dont le comportement se révèle parfois presque… fantastique !

Reste un autre bonus tout à fait intéressant pour approfondir notre connaissance du travail du documentariste : un court métrage sur des ouvriers syriens risquant leur vie pour détruire un
immeuble, intitulé « Tweety lovely superstar », en référence au texte imprimé sur le t-shirt d’un enfant, travaillant avec les ouvriers et au drôle d’air mélancolique… le court s’achève en outre
sur un plan final éminemment truffaldien (période « Les 400 coups ») avec un regard caméra de l’enfant, intense et troublant : celui d’une enfance volée ?































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